L’histoire du festival

IL éTAIT UN VILLAGE

Au cœur de l’Aveyron, à une vingtaine de kilomètres de Rodez, Bertholène émerge de la forêt des Palanges et présente au soleil ses maisons de pierres et les vestiges de son château du XIIème siècle. Un cadre ravissant dans lequel a grandi l’accordéoniste Lionel Suarez.

Et c’est ce joli tableau qui lui a inspiré, à l’été 2018, l’idée d’un festival.
Ses invités ? Les amis musiciens, chanteurs, comédiens, conteurs, poètes, à qui Lionel propose des créations hétéroclites, un terrain de jeu, une agora qui interroge l’artiste et le spectateur sur le savoir-faire ensemble.

AU DéPART, L'IDéE D'UNE MASTERCLASSE

Tout est parti d’une simple invitation : en 2014, Lionel Suarez est sollicité par une association Bertholènoise
pour donner un concert caritatif dans l’enceinte de l’ancien château du village. 
Il accepte, touché par la cause et heureux de retrouver le décor de son enfance.

Surprise : près de 350 personnes viennent l’écouter, – alors que Bertholène ne compte qu’un peu plus de 1000 habitants.
Le concert est magique, Lionel connaît tous les regards, tous les sourires qui applaudissent et les échanges en fin de soirée sont enthousiastes.
Cela confirme tout ce qu’il sait depuis longtemps à force de voyages ici ou là : l’envie n’est jamais ce qui manque, envie de culture, de partage…

Le site récemment ouvert au public, s’avère exceptionnel, la vue panoramique, l’espace et les infrastructures sont là.

A cette même époque, de nombreux étudiants sollicitent Lionel pour prendre des cours,
 et le rendez-vous est pris avec la municipalité de Bertholène pour proposer un stage pédagogique dans l’ancien presbytère.

Naturellement, l’idée évolue vers une programmation :
Lionel invite Sanseverino, Clotilde Courau, l’Ultrabal et bien d’autres,

la première édition du Bretelle(s) Festival voit le jour !

Un évènement culturel multidisciplinaire
autour d’un projet pédagogique

Ou plutôt, une rencontre pédagogique autour de laquelle s’articule une programmation artistique.

Qu’importe, la programmation passera par la transmission et l’étudiant, placé au cœur du processus trouvera là,
– bien plus encore que des leçons de musique ou des méthodes techniques dédiées à la maîtrise de l’outil instrument -,
de quoi cultiver sa pensée, approfondir son sens critique et, espérons-le,
de quoi révéler chez lui, de potentielles perspectives quant à son propre devenir artistique.

lionel fédère alors Des personnes
et entités de tous horizons

– L’Association Madame 1901, présidée par Cécile Moreira :
Cette association qui encourage les projets culturels en zones rurales
 et développe un programme «Cultures & Territoires» portera l’évènement,

– La Fondation Interfréquence, sous égide de la Fondation de France, présidée par Béatrice et Alain Paré,
offrira un accompagnement dédié et toute son expertise dans le domaine du mécénat culturel,
grâce auxquels nous tisserons tout un réseau de donateurs, particuliers et entrepreneurs aveyronnais.

Fort de ces bases solides, les partenariats se développent avec divers acteurs locaux.

Les Bertholénois-e-s et leurs associations, les communes avoisinantes, proposent spontanément de l’aide, des bénévoles, du matériel.
Les collectivités territoriales apportent leur soutien, la Mairie de Bertholène, bien sûr
mais aussi la Communauté de Communes des Causses à L’Aubrac, le Département de l’Aveyron, la Région Occitanie.

Hélène Nougaro et Marcel Azzola acceptent d’être marraine et parrain,
le festival est dédié à Claude Salles, Maire de Laissac, originaire de Bertholène, disparu peu de temps auparavant.

tout le monde est sur la photo ?
Souriez, l'aventure commence !

Festival Hors Norme vs Places limitées ! ​

Ici, on revendique une capacité d’accueil de 1500 spectateurs maximum,
ce qui offre ce qu’il faut de chaleur et de proximité pour profiter pleinement des spectacles.

Le Bretelle(s) prône la proximité et des dimensions visuelles et acoustiques abordables aux yeux et aux oreilles de toutes et tous,
à bon entendeur, salut !

Seul-e-s celles et ceux qui réservent assez tôt s’offrent le privilège d’assister aux rencontres inédites,
uniques et délicieusement éphémères qui se trament ici et nulle part ailleurs !

Singulier à bien des égards, ce festival hors norme intrigue et en seulement deux éditions, il a été observé de curieux phénomènes:

…Il parait que ceux qui ne viennent pas, en entendent parler ensuite et regrettent jusqu’à s’en vouloir…

Forcément, quand vos proches fanfaronnent que :
« – Les concerts étaient magnifiques, les artistes étaient extraordinaires,

et qu’en même temps, il y avait un je ne sais quoi de simple, de sincère, de fraternel, d’authentique qui nous a fait un bien fou »
(Retours fréquents de festivaliers souriants) ;
quand on comprend que l’on aurait été accueillis à bras ouverts, que les prix étaient abordables, qu’en plus de ça, le festival est gratuit pour les moins de 12 ans – que tout a été pensé avec les associations et les artisans locaux, que le fonctionnement du festival se veut éco-responsable, que les produits sont excellents grâce aux fermiers de l’Aveyron et qu’en plus, on aurait pu être accompagné jusqu‘au portail parce que le covoiturage est encouragé, on a vraiment de quoi se poser des questions sur la notion de bon ou de mauvais choix !

Il serait tout de même dommage d’en arriver là, et nous ne pouvons que vous conseiller de réserver au plus vite !

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